REGLES MAÇONNIQUES
ARTICLE 5 — LA BIENFAISANCE
Vénérable Maître,
La franc maçonnerie conduit et incite le maçon à se rapprocher de l’image de la Bienfaisance, qui émane de son créateur.
La Bienfaisance doit être prodiguée avec la plus grande humilité aux autres hommes, grâce à l’enseignement reçu par le maçon dans le cours du rituel.
Le monde profane recèle une immense détresse et ignorance, qui nécessitent l’apprentissage et l’instruction des vertus nécessaires au déclenchement du bonheur.
Le maçon a un devoir sacré envers l’être qui souffre, car il est supposé acquérir au cours de son apprentissage la connaissance et la signification des vertus bienfaisantes enfouies au fond de lui même, qu’il doit à son tour prodiguer sans compter, autour de lui.
La bienfaisance est par essence une valeur immatérielle, elle est spontanée, généreuse, libre, équitable, elle doit se dispenser sans qu’il en soit attendu en retour, une quelconque contre partie.
J’ai Dit Vénérable Maître.
Tenue Du 30 Avril 5999,
Réflexion Commune Des Apprentis.
Vendredi 30 avril 1999 — Pyl
▲ Aron O’Raney —
