23 mai 2025

≡Légendes Autour du Graal



 De Nombreuses Légendes Entourent La Coupe Du Graal. 



Une tradition rapporte qu’elle fut taillée dans l’émeraude,

Tombée du front de Lucifer quand, s’étant révolté contre Dieu

Il fut précipité dans l’abîme.



C’est de cette coupe, que Jésus,

Ce serait servi le soir de la Cène,

Et après la crucifixion, Joseph d’Arimathie

Y aurait recueilli, quelques gouttes de son sang.



Joseph d’Arimathie, aurait ensuite légué cette coupe,

À son fils, puis on en a perdu la trace.



Beaucoup ont tenté, et tentent peut-être même encore,

De la retrouver, mais en vain.



Quelle que soit l’origine de la coupe du Graal,

Et ses aventures, l’essentiel

C’est de comprendre sa signification symbolique.



La coupe représente le principe féminin.



Elle est taillée dans une émeraude,

Et la couleur verte est celle de Vénus. 



Cette coupe est le réceptacle,

Qui recueille et protège le principe masculin,

L’esprit, représenté ici par le sang

Qui est de couleur rouge,

La couleur de Mars.



La coupe du Graal est donc l’image idéale,

Du corps de tout être humain,

Qui a su travailler sur sa propre matière,

La purifier, la rendre inaltérable, incorruptible,



Digne de recueillir la plus précieuse, des quintessences :

Le sang du Christ,

L’esprit.




Omraam Mikhaël Aïvanhov—




≡Jean-Yves Leloup, En Peu De Mots…



Jean-Yves Leloup, Docteur en philosophie, psychologie et théologie, écrivain, conférencier, dominicain puis prêtre orthodoxe, il offre à travers ses livres, conférences et séminaires un approfondissement des textes sacrés, ainsi qu'une approche et une réflexion d'une grande richesse sur la spiritualité au quotidien grâce à une formation pluridisciplinaire d'une rare complémentarité. 



—Membre de l'Organisation des Traditions unies, Docteur honoris causa es sciences à l'Université de Colombo (Sri Lanka), Jean-Yves Leloup enseigne en Europe, aux Etats-Unis et en Amérique du Sud, dans différentes universités et instituts de recherche en anthropologie fondamentale. 


—Auteur d'une cinquantaine d'ouvrages et de traductions et commentaires des évangiles de Thomas, Jean, Philippe et Marie de Magdala, il participe à de nombreuses rencontres intertraditions.



C’est un homme qui marche hors des clous, un inclassable : docteur en philosophie, en psychologie et en théologie, après avoir été dominicain, Jean-Yves Leloup est devenu prêtre orthodoxe.


Ce parcours, loin d’être objet de division intérieure, lui permet au contraire d’enrichir sa pensée et sa pratique spirituelle à la source de ces différentes traditions religieuses. 


Cette largeur d’esprit et de cœur lui ouvre la voie pour penser notre relation au monde et à nous-mêmes. 


Il défend une certaine vision de l’être humain, défini comme un tout indivisible, où la triade « corps-âme-esprit » trouve son unité et sa consistance grâce au « pneuma », c’est-à-dire au souffle, à l’esprit. 


Cette vision de l’unité le conduit à réfléchir sur la part de l’autre sexe que chacun porte en lui.


Ce mystique rejoint, dans sa quête de l’unité, la pensée des Pères de l’Église, mais refuse, pour autant, de se restreindre à une vie de contemplation : le monde et ses convulsions doivent être étudiés à l’aune de la spiritualité. 


Aussi n’est-il pas étonnant de le voir se pencher, dans le dernier de ses cinquante-six livres, sur une question qui hante de plus en plus les médias : 


La fin des temps est-elle arrivée? 


Pour y répondre, il propose une traduction inédite du texte emblématique de Saint Jean et un riche commentaire qui rappelle que l’Apocalypse, loin de l’idée que l’on peut s’en faire (crises, catastrophes écologiques, guerres…), peut aussi être « révélation ». 


De quoi retrouver force et espérance. 




—Source : E.G.— Extrait de Psychologie.com

—Jean-Yves Leloup — L’apocalypse De Jean




Aron O’Raney —