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20 juin 2011

Omraam Mikhaël Aïvanhov, Fragments De Vie



Mikhaël Aïvanhov, Est Un Maître Spirituel D'origine Bulgare, Qui Est Le Fondateur En France De La Fraternité Blanche Universelle.

C'est après un voyage en Inde, en 1959, qu'il reçut le nom d'Omraam Mikhaël Aïvanhov.

Dispensé lors des innombrables conférences qu'il donna tout au long de sa vie, son enseignement se fonde sur les enseignements du christianisme, mais inclut des éléments issus d'autres traditions spirituelles, comme l'Hindouisme ou le Bouddhisme.

Ses livres, publiés par les éditions Prosveta, sont tous des extraits de ses conférences.

Parmi ceux-ci, l'on peut citer, entre autres, De l'homme à Dieu, qu'est-ce qu’un maître spirituel ? Le véritable enseignement du Christ, ou encore, L'amour plus grand que la foi.

Cet auteur a également « écrit » des livres sur d'autres thèmes, toujours en rapport avec la spiritualité, comme : Le livre de la Magie divine, Le Yoga de la nutrition et Harmonie et santé.
Mikhaël Aïvanhov est né dans un petit village de Macédoine, en Bulgarie, le 31 janvier 1900.

À la mort de son père en 1908, la famille se retrouve dans la pauvreté.
En 1909, Mikhaël Aïvanhov découvre  le « Livre des Proverbes » de Salomon, qui lui donne l'envie de devenir prophète.

En 1917, il prend connaissance des enseignements de Peter Deunov, chassé de Sofia et exilé à Varna, ville où habite le jeune homme avec sa famille.

Il rencontre le maître et devient son disciple ; guéri par lui d'une maladie grave, Mikhaël reprend ses études et va à l'université de Sofia en 1923.

Il suit alors chaque année le maître lors de camps d'été.
Entre 1930 et 1937, il est instituteur puis directeur de collège.

Le 18 juillet 1937, prétextant une visite à l'Exposition universelle de Paris, il quitte son pays à la demande de son maître Peter Deunov pour fonder, après 20 ans de formation auprès du maître, la section française de la Grande Fraternité Blanche (créée en 1900 par son maître).

Après sa première conférence à Paris en janvier 1938, un cercle se forme autour de lui, donnant ainsi naissance à la section française de la Fraternité Blanche Universelle.

— En 1945, il apprend la mort de son maître (un an plus tôt).

— En 1948, victime d'un complot, il est condamné à 4 ans de prison, suite à des accusations calomnieuses de viol.

— Il sera relâché de prison en 1950, et, après avoir reçu une lettre d'excuse de la part du Garde des Sceaux de l’époque, il est réhabilité en 1960 par la Cour d'appel d'Aix-en-Provence, grâce à la rétractation de nombreuses personnes, ayant avoué des faux témoignages lors de l’accusation.

— Entre 1959 et 1960, il visite l'Inde, et rencontre des sages tels Babaji, Ma Ananda Moyi, Sivananda, Nityananda, l’un de ces sages lui donne alors le nom de « Omraam ».
Omraam Mikhaël voyagera alors dans de nombreux pays, jusqu'à sa mort en 1986.

Il s'éteint en pleine conscience le jour de Noël 1986.

— Lundi 20 Juin 2011



Aron O’Raney —



10 mai 2011

Connaître Omraam Mikhaël Aïvanhov


Connaître Omraam Mikhaël Aïvanhov


Omraam Mikhaël Aïvanhov (1900-1986) Philosophe Et Maître Spirituel Français D’origine Bulgare, Est Arrivé En France En 1937 Où Il A Dispensé L’essentiel De Son Enseignement. 

Il fut un « Porteur De Lumière », un être fraternel, accessible, enthousiaste et vivifiant ; un modèle. Sa vie témoigne d’une parfaite adéquation entre sa pensée, ses paroles et actes.

Au travers de plus de cinq mille conférences, il a exploré la nature humaine, à l’échelle individuelle, familiale, sociale, et planétaire. Celui que ses disciples appellent Maître, dans l’acception orientale du terme se référant à la maîtrise personnelle et au talent pédagogique, disait : 

« Ce que je souhaite par cet enseignement, c’est vous donner des notions sur la vie, sur vous-même, comment vous êtes construit, quelles relations vous avez avec l’univers tout entier et quels échanges vous devez faire après, entre vous et l’univers qui est la Vie ».

Aider l’être humain à retrouver sa dimension spirituelle (qu’il appelle sa nature supérieure ou divine), à se perfectionner, se renforcer et s’épanouir au cœur du monde où il se trouve, voilà ce qu’était son objectif prioritaire.

Omraam Mikhaël Aïvanhov précisait : 

« Je me suis surtout efforcé d’éclairer un sujet : les deux natures de l’être humain, sa nature supérieure et sa nature inférieure, parce que c’est la clé qui permet de résoudre tous les problèmes. »

Mais le travail intérieur, individuel, s’inscrit dans une perspective plus large et universelle : il permet de développer la conscience que nous sommes tous citoyens du cosmos, membres de la grande famille humaine, la fraternité universelle, fils et filles d’un même principe cosmique.

Au-delà encore, l’enseignement de Omraam Mikhaël Aïvanhov invite tous les êtres humains, sans distinction de couleur de peau, de nation, de religion, de race, à réaliser sur la terre entière une vie fraternelle et harmonieuse, pour le bien de tous et de chacun.

Par son rayonnement, son exemple et son enseignement, Omraam Mikhaël Aïvanhov a ouvert à d’innombrables personnes le chemin de l’épanouissement intérieur.

Historique

Né le 31 janvier 1900 à Serbtzy en Macédoine, Omraam Mikhaël Aïvanhov a vécu par la suite à Varna en Bulgarie.

Sa jeunesse se passe dans des conditions difficiles : la perte de son père, la pauvreté, l’instabilité et les guerres sont pour lui autant d’occasions de développer sa volonté, d’affiner sa conscience et sa spiritualité, ainsi que son désir d’être utile à toute l’humanité.

À dix-sept ans, il rencontre le Maître bulgare Peter Deunov.

Après des études universitaires à Sofia, il devient professeur, puis directeur de collège. Parallèlement, il suit assidûment l’enseignement du Maître Peter Deunov qui est pour lui un champ infini d’exploration et d’expérience. Tout en demeurant volontairement discret et effacé dans la fraternité de Peter Deunov, il a pourtant une profonde influence spirituelle et humaine sur ses contemporains.

En 1937, aux approches du deuxième conflit mondial, pressentant que les troubles politiques entraîneront l’interdiction de toute association de caractère spirituel en Bulgarie, Peter Deunov envoie son disciple Mikhaël Aïvanhov en France, pour préserver son enseignement, le propager et le développer

L’œuvre d’Omraam Mikhaël Aïvanhov

À partir de 1937, il travaille à faire connaître cet enseignement qu’il a apporté en France. Son rayonnement est intense et son influence touche les différentes sphères de la société.

En dépit des difficultés et des épreuves, il demeure fidèle à sa mission et continue à donner, inconditionnellement, son attention et son amour à tous ceux qu’il rencontre.

Poussé par ce désir qui ne le quittera jamais de contribuer à la création d’une humanité profondément fraternelle, il crée dès 1948 de nombreuses fraternités, en France, en Suisse, en Belgique et dans plusieurs pays européens.

En 1959, après avoir œuvré pendant plus de vingt ans à la tâche confiée par Peter Deunov, il part séjourner en Inde. Il y rencontre le Mahavatar Nimcaroli Babaji, dont Yogananda avait dit que le rôle était, depuis longtemps, celui d’un guide pour les prophètes et les Maîtres.

Il reçoit, dans des circonstances sur lesquelles il a toujours été très discret, le nom de « Omraam ». Jusqu’à ce jour, Frère Mikhaël avait refusé d’être appelé Maître par ses disciples. Il s’était toujours considéré lui-même comme disciple de son propre Maître, Peter Deunov.

Maintenant tout était changé. Ses disciples, qui le suivaient déjà depuis 22 ans, insistaient pour lui témoigner le respect qui lui était dû et, finalement, il accepta qu’on l’appelle « Maître ». Un vrai Maître, dit-il, est quelqu’un qui connaît la vérité, qui comprend parfaitement bien les lois et les principes de l’existence et les respecte.

Il a aussi la volonté et la capacité de maîtriser son monde intérieur et d’utiliser cette maîtrise dans le seul but de « manifester toutes les qualités et les vertus de l’amour désintéressé. »

Dans les années qui suivirent et jusqu’à son départ pour l’autre monde le 25 décembre 1986, Omraam Mikhaël Aïvanhov donna, toujours gratuitement, des milliers de conférences en France et dans de nombreux pays.

Son enseignement a une envergure universelle, et les méthodes qu’il donne répondent de plus en plus au changement des mentalités et aux problèmes posés par la vie quotidienne.

Sa préoccupation constante a toujours été, comme il le disait lui-même, d’être utile à ses contemporains, de les aider à trouver en eux-mêmes les forces qui y ont été déposées par le Créateur, et de participer à la réalisation d’une famille planétaire profondément fraternelle, d’un âge d’or pour l’humanité.

Chronologie

1900 Naissance de Mikhaël Aïvanhov à Serbtzi en Macédoine.
1917 Première rencontre avec le Maître bulgare Peter Deunov (1864-1949).
1931 Obtention de diplômes universitaires.
1932 Direction de l’école supérieure de Sofia.
1937 Arrivée à Paris où il fait connaître l’enseignement de Peter Deunov.
1938 Première conférence à la salle du Luxembourg à Paris.
1945 Premier séjour en Suisse ; publication des recueils de conférences sous le titre Amour, Sagesse et Vérité.
1948 Création de l’association Fraternité Blanche Universelle, à Sèvres.
1953 Premier congrès d’été au Bonfin, centre fraternel du Sud de la France.
1958 Deuxième voyage en Suisse.
1959 Départ pour l’Inde où il réside durant une année et rencontre plusieurs grands Maîtres spirituels. C’est à cette période qu’il reçoit son nom OMRAAM.
1961 Création de l’association Fraternité Blanche Universelle suisse, à Corsier sur Vevey. Voyages dans le monde entier et séjours dans les différents centres fraternels, où des milliers de conférences sont données devant un public international.
1986 Omraam Mikhaël Aïvanhov quitte cette terre, le 25 décembre.


— Mardi 10 mai 2011


Aron O’Raney —