Le passé n’est plus,
Mais il marque,
Éternellement la souffrance,
Du sceau de l’inoubliable.
Le présent,
Est l’inconnu furtif,
Que nous tentons,
Parfois de saisir.
L’avenir est peut-être,
À portée de mains,
Mais inconcevable.
Que reste-t-il ?
Joies éphémères,
Bonheurs fragiles,
Ou fugaces,
le Temps imperturbable,
Nous est compté,
Mesuré.
Alors, même,
Souvent déçu,
L’Espoir,
Est un remède universel,
Pour les errements,
Et déchirements.
— Samedi 12 Février 2011
▲ Aron O’Raney —