Les peuples préhistoriques adoraient la lumière et ils avaient construit des temples qui aidaient à comprendre l’arrivée des saisons…
Pour les premiers agriculteurs européens,
les hommes du néolithique.
Dans le temple mégalithique
De New grange en Irlande,
La lumière du soleil ne rentre
Que le jour du solstice d’hiver,
Le 25 décembre.
De même dans le temple
De Stonehenge en Angleterre,
Le Soleil ne se lève dans une pierre percée
Que le 21 juin, jour du solstice d’été.
Les Égyptiens adoraient à cette période,
le fils du Dieu Osiris, Aïnou,
Surnommé le soleil renaissant
Et marqué au front d’une étoile d’or.
Les Celtes faisaient de grands feux
Aux solstices pour lutter contre les ténèbres.
Ils avaient très peur de ces périodes sombres
avec le jour plus court,
Mais en même temps,
Ils savaient que le Soleil
Allait réchauffer le sol et les plantes.
Au 6e jour qui suivit le solstice d’hiver,
Notre 1er janvier,
Ils coupaient en grande cérémonie
Le gui sacré qui montrait
Que la nature revivait
Sur les chênes qui semblaient morts ;
Le druide criait alors : « o ghel an heu ! »
Qui signifiait « que le blé lève »
Ce qui est devenu « Au gui, l’an neuf ».
Les Romains fêtaient les Saturnales
Du 17 au 25 décembre,
Les hommes et les femmes
Portaient alors des guirlandes
Autour du cou, et s’offraient
Toutes sortes de cadeaux.
Un peu plus tard, sous l’Empire romain,
Le 25 décembre devint
La fête du « soleil invaincu »
Avec une des divinités solaires
Représentée par un enfant nouveau-né.
La religion chrétienne qui célébrait
Jusqu’au IIIe siècle
La naissance du Christ le 6 janvier
Dans les anciennes saturnales romaines
Décida en 354 que le 25 décembre deviendrait
La date de la naissance de Jésus Christ.
Le 25 décembre est une fête qui regroupe
de nombreuses croyances très anciennes
Avant de devenir une des dates
les plus importantes du calendrier chrétien.
▲ Aron O’Raney —
Mardi 21 Décembre 2021