La Vie Est Comme La Mer,
Parfois Calme,
Souvent Agitée…
Je compare cette vie
À la mer Méditerranée,
Ou a tel autre Océan.
En l’homme, comme dans la mer,
Il y a les espaces-temps d’un calme plat,
De l’entre ressacs,
Et ceux des tempêtes;
Arrivent aussi,
les périodes de tranquillité,
Et celles bien agitées,
Par les vents violents.
Je suis souvent
Dans les eaux de l’amertume,
Surnageant entre de grosses vagues ;
Ou,
Marchant péniblement
Au cœur des orages violents.
À l’instar de ce navigateur sans gouvernail,
Triste et perdu,
Qui ne semble pourtant pas malheureux,
Je poursuis mon voyage en aveugle.
Rires et fausses paroles
Tentent d’occulter le vide intérieur,
L’exubérance masque la tristesse,
Les déceptions, la peur,
Les angoisses d’une vie
Désespoir.
▲ Jean Rumoncey —
Vendredi 3 mars 2017